Le défi « Février sans supermarché » permet aux participants de s’interroger à une échelle individuelle et collective au modèle économique qu’une société soutient via sa consommation.
« Le but du défi ? Encourager les commerces indépendants, redécouvrir les épiceries de quartier, soutenir les petits producteurs, favoriser la vente en vrac et le commerce local, repeupler les marchés ou encore réapprendre à n’acheter que l’essentiel. Mais c’est également l’opportunité de faire savoir aux grandes surfaces que nous ne sommes pas d’accord avec le sur-emballage, le kilomètre alimentaire qui explose les scores ou les politiques de prix qui écrasent les petits producteurs. » Leïla Rölli, fondatrice d’En Vert et Contre Tout